28 avril 2024
Il n’y a rien comme retrouver ses clients en salle pour un restaurant. Le take out, ça fait son temps quand ce n’est pas ta recette. La Cage de Sept-Îles s’apprête à accueillir à nouveau son monde.
« Vraiment beaucoup hâte », ça, c’est la réponse de Manon Lapierre, la gestionnaire de la Cage de Sept-Îles, a la question à savoir si elle est heureuse de la réouverture des restaurants.
« On a hâte de voir la clientèle. Nous serons plus heureux d’avoir notre resto bondé de monde, même si le take out ça aide pour le chiffre d’affaires quand même », a-t-elle dit.
Ce sera du passé dès le mercredi 2 février, 16h, avec la réouverture de la salle à manger.
La Cage opérera sa salle à manger du mercredi au dimanche, de 16h à minuit (fin de la vente d’alcool à 23h), en raison d’un personnel restreint, particulièrement au niveau de la cuisine.
« La pénurie est plus du côté de la cuisine que du service. C’est plus facile trouver du personnel pour le service, peu importe le restaurant », assure Mme Lapierre.
Elle se réjouit de pouvoir compter sur le retour de tous ses employés. « Je me considère chanceuse. Je les ai tous contactés hier et ils reviennent tous. On ressent un sentiment d’appartenance pour la Cage. »
Pour ce qui est de l’approvisionnement, Manon Lapierre ne voit aucune inquiétude puisqu’il s’agit d’une chaîne de restauration pour la Cage et qu’elle devrait recevoir sa livraison jeudi. Pour la journée de réouverture du 2 février, aucun problème là aussi alors qu’elle a déjà le stock du « take out » de la formule « La Cage chez vous ».
Manon Lapierre souhaite fort qu’il n’y ait plus de fermeture. « Fermer un restaurant, ça implique beaucoup de choses. »
