Un vent favorable souffle en direction d’Ema Landry
En ce moment, Ema Landry récolte le fruit des multiples efforts qu’elle a faits pour en arriver à percer dans le milieu musical. Elle entend continuer à travailler très fort pour arriver à atteindre ses objectifs.
De passage sur la Côte-Nord pour visiter ses parents, Ema Landry a cédé à nouveau à l’appel de la musique. L’année 2018 s’annonce riche pour celle qui compte désormais sur les services d’une gérante pour la représenter et qui a entrepris le travail de création d’un premier album, qu’elle entend lancer à l’automne.
À l’automne 2017, Ema Landry a eu la chance d’assurer la première partie du spectacle de Marie Carmen, au National, à Montréal. «Je l’avais côtoyée avant, lors d’un spectacle à Terrebonne, en juin. Le courant a rapidement passé entre nous. Je peux vous assurer qu’elle est tout aussi gentille que plusieurs se l’imaginent. Elle a parfois un fort caractère. Elle sait ce qu’elle veut et ce qu’elle ne veut pas. Elle est très perfectionniste», confie-t-elle.
C’est justement cette expérience qui lui permet d’être désormais représentée par une gérante, Magali Rancourt. «Son aide m’est précieuse. Il y a beaucoup à gérer quand on mène une carrière musicale. Les gens tendent parfois à l’oublier», avance la Septilienne. «Ce n’est pas pour rien qu’il y a le mot business dans show-business. Je suis convaincue qu’elle va réussir à ouvrir d’autres portes pour moi. Je vois déjà toute une différence.»
Une première carte de visite en préparation
De concert avec un ami et collègue du milieu artistique, Thomas Hodgson, l’interprète a entrepris le travail de création qui mènera à la sortie d’un premier album, cet automne.
«Avec lui, je me sens en confiance. Je respecte pleinement son opinion et ses goûts musicaux. De plus, on a des affinités dans la vraie vie. On se comprend rapidement. Je suis convaincue qu’il réussira à apporter un côté plus accrocheur à mes chansons et aussi, mettre de l’avant mes talents de raconteuse», affirme-t-elle.
Cependant, ce projet n’en est pour l’instant qu’à l’étape embryonnaire. Il n’en demeure pas moins qu’Ema Landry a déjà une bonne idée de la direction qu’elle souhaite emprunter sur le plan musical.
«Il reste encore beaucoup de choses à déterminer. J’ai l’intention de reprendre certaines de mes anciennes chansons et de leur donner ma couleur, comme je le fais pour des reprises», explique-t-elle. «Comme c’est le premier, je veux être certaine qu’il me représente bien. Il sera davantage folk pop que ce que j’ai fait auparavant. C’est vers ce son que je tends.»
Avant tout une chanteuse, elle aimerait bien avoir la chance de revenir dans la région avec des musiciens pour s’y produire en spectacle. «Ce que j’aime le plus dans la vie, c’est chanter. J’aime être sur scène aussi souvent que possible. C’est définitivement à cet endroit où je suis le plus à l’aise. Je deviens, en quelque sorte, une autre personne», conclut-elle.
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