Port-Cartier: Retour la nuit pour le Relais pour la vie

Par Éditions Nordiques 24 mars 2016
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Le président Claude Boily est accompagné des autres membres du comité : Guylaine Côté, Stéphanie Duval, Julie Drouin, Martine Boily, Isabelle Méthot et le président d’honneur Louis-Philippe Jean.

Le Relais pour la vie de Port-Cartier aura de nouveau lieu la nuit comme cela se fait habituellement dans les autres communautés qui organisent l’activité. Le comité organisateur a lancé officiellement ses activités mercredi avec Louis-Philippe Jean comme président d’honneur.

Le 9e Relais pour la vie de Port-Cartier aura lieu le 11 juin de 19h à 7h le lendemain au Centre éducatif l’Abri (CEL’A). C’est un retour la nuit pour le relais de Port-Cartier, alors que les deux dernières éditions se déroulaient de midi à minuit. «On a 13 équipes d’inscrites à date sur un objectif de 20», a mentionné le président du comité organisateur, Claude Boily.

Une première activité de financement aura lieu les 24 et 25 mars prochain avec la tenue d’un pont payant. D’autres activités à confirmer pourraient avoir lieu d’ici l’événement en juin. L’an dernier, le Relais pour la vie avait permis une récolte de 36 527$ à la Société canadienne du cancer. Près de 1110 luminaires avaient été vendus par les 120 porteurs d’espoirs.

«Le cancer, c’est partout»

Le propriétaire du gym Form’optimale, Louis-Philippe Jean, n’a pas hésité à accepter le titre de président d’honneur pour cette 9e édition du relais. Plusieurs personnes dans sa famille ont été touchées par la maladie, a-t-il confié. «Le cancer, c’est partout. Si personne ne s’implique, rien ne va être fait pour enrayer la maladie. Le relais, c’est une belle entreprise», a affirmé M. Jean.

En tant que propriétaire d’un centre de conditionnement physique, le président d’honneur voit aussi passer dans ses locaux des personnes qui souhaitent se remettre en forme après avoir combattu le cancer. Il souhaite faire impliquer toute son équipe pour «sensibiliser les gens au cancer».

«Ce n’est pas juste un centre de conditionnement physique. C’est un lieu de rencontre pour beaucoup de gens, un endroit pour socialiser. C’est important de faire voir aux gens qu’il y a une après-vie après la maladie», a expliqué Louis-Philippe Jean.

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