Un club pour le développement du plein air sur la Côte-Nord

Par Sylvain Turcotte 4:00 PM - 26 octobre 2022
Temps de lecture :

Jean-Pierre Larivée, un des passionnés derrière le Club de plein air de la Côte-Nord. Photo courtoisie

La Côte-Nord regorge de lieux pour l’escalade ou pour la randonnée pédestre. Dans le but de faire croître les possibilités, il y a maintenant le Club de plein air de la Côte-Nord.

Il y a un peu plus d’un an que certains adeptes de plein air, dont Jean-Pierre Larivée, travaillent pour la mise sur pied d’un organisme. C’est devenu concret le 17 octobre dernier, avec une assemblée générale annuelle. Quelques nouvelles personnes se sont ajoutées au groupe.

« C’est pour répondre à un besoin en escalade, mais aussi, pour la randonnée pédestre », a mentionné M. Larivée.

Il veut une reconnaissance locale et régionale, du point de vue notamment de la Fédération québécoise de montagne et d’escalade, mais aussi des élus et des municipalités

L’organisme a comme but d’offrir des formations, de l’encadrement et des assurances.

« Ça fait des années qu’on paye de nos propres poches le matériel entre les différents motivés, on veut faire grandir notre communauté », a ajouté Jean-Pierre Larivée.

Le Club de plein air de la Côte-Nord, c’est aussi un jumelage avec la randonnée pédestre et ses différents sentiers. « Ça regroupe beaucoup de monde. »

« On se garde ouvert à d’autres OBNL, d’autres activités », a-t-il indiqué, mentionnant entre autres le hors-piste.

Le nouvel organisme souhaite la tenue d’activités de corvées, pour faire grandir les possibilités d’aménagement de nouveaux sentiers et de nouvelles parois.

Cette entité légale d’organisme lui donnera aussi plus de crédibilité et de pouvoir. « C’est aussi pour avoir plus d’impacts. »

Pour faire croître les ambitions du Club de plein air de la Côte-Nord, les gens sont invités à devenir membres pour seulement 5$. Ils pourront adhérer lors des activités à venir, ou en communiquant avec l’organisation via sa page Facebook.

« On est embryonnaire, mais avec beaucoup d’ambitions. Il reste certaines parties administratives à terminer. On est de passionnés de plein air et avec des expériences diverses. On veut protéger les sentiers, les pérenniser et en être les gestionnaires. »

Partager cet article