Ariane Dionne-Charest fera trois pierres d’un coup en février. Elle s’imprègnera du programme du baccalauréat en plein air qu’elle a entrepris à l’UQAC à l’automne, tout en relevant un défi sportif, le Défi des deux Mario, et en soutenant une cause, celle des enfants et le cancer.
C’est au baccalauréat en plein air de l’UQAC que la Septilienne de 21 ans a entendu parler de la Fondation sur la pointe des pieds et son Défi des deux Mario, une des activités de l’organisme.
Grâce à l’aventure thérapeutique, la Fondation permet aux jeunes atteints de cancer de changer leur histoire, en reconnectant avec leurs forces et leurs rêves.
Ariane prendra donc part à l’événement les 11, 12 et 13 février prochain, une aventure de trois jours d’une trentaine (32) de kilomètres, en raquettes, sur le Lac-Saint-Jean, entre Pointe-Taillon et Roberval. Les participants, qui auront à dormir dans tes tentes d’expédition, seront encadrés par les étudiants de 2e année au baccalauréat.
La jeune femme se dit chanceuse d’être en santé et tient à faire sa part, comme elle l’a fait l’an dernier dans le cadre du Défi têtes rasées de Leucan.
Ariane se dit touchée autant par la cause, celle de la Fondation sur la pointe des pieds, que par le défi, qui la sortira de sa zone de confort, tout en restant dans son domaine
Elle souhaite également redonner davantage, « aider mon prochain. »
Au-delà du défi sportif où la Septilienne de 21 ans aura à gérer ses efforts et le froid, l’objectif est surtout la levée de fonds.
« Ça demande une certaine volonté et une bonne condition physique. J’encourage les gens à le faire ou à donner. »
Pour donner pour la Fondation sur la pointe des pieds via le portail d’Ariane, cliquez ICI.
Une vie transformée
Après avoir terminé son diplôme d’études collégiales en gestion et intervention en loisir en décembre 2020, elle a fait un stage écourté au comité organisateur des Jeux du Québec de Rivière-du-Loup, stage écourté en raison du contexte pandémique.
La pandémie l’a aussi amenée à changer ses intérêts. Avec l’arrêt des compétitions, dans son cas du soccer et du dek hockey, elle s’est tournée vers le plein air.
« Ça m’a permis de découvrir d’autres choses. Le plus proche du plein air que je faisais, c’était d’aller marcher au parc des écureuils ou d’aller à la plage », a-t-elle mentionné en riant.
Elle se dit ouverte à d’autres défis, que ce soit en solitaire ou en équipe.
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