Volleyball collégial : portrait intéressant chez les filles

Par Sylvain Turcotte 10:52 AM - 17 octobre 2019
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L’entraîneure-chef des Voyageurs du Cégep de Sept-Îles en volleyball féminin, Lucie Boudreau, est emballée par le portrait de sa troupe à l’aube de la saison 2019-2020 du circuit collégial Saguenay-Lac-Saint-Jean/Côte-Nord, dont le premier tournoi est prévu ce samedi 19 octobre à Chibougamau.

« On a un très beau potentiel et beaucoup de nouveaux visages », ont été les premiers mots de la coach sur ce qu’elle avait sous la main pour la saison 2019-2020.

Et du sang neuf, il y en a au sein de la formation des Voyageurs pour la nouvelle saison. Sur les 13 membres de l’équipe, seulement cinq portent le statut de « vétérans ». Sept des huit recrues proviennent du secondaire, dont trois de Port-Cartier, Élisabeth Langis, Jade Duchesne Bissonnette et Valérie Morin.

Lucie Boudreau a donc un bon bassin de joueuses, mais ne pourra qu’en amener 12 par tournoi. Elle n’aura pas à se questionner pour la première rencontre puisque Élisabeth Langis est sur la touche.

« C’est un beau problème avec autant de filles », soutient-elle, mais elle s’en réjouit, ayant sous la main de grandes joueuses. « On a des filles qui veulent, qui ont du chien en attaque ». Le portrait de l’équipe laisse place à une belle chimie, chimie qui prendra de l’ampleur avec la douzaine d’heures de route qui attendent l’équipe direction Chibougamau vendredi.

Côté objectif, c’est le même discours chaque année. « On ne fera pas de prédictions avant le premier tournoi, on verra après. On va voir nos adversaires et observer l’équipe contre qui on ne jouera pas. On aura une idée claire, une image importante après.»

Un aspect important demeure encore une fois en ouverture de la saison, la base, le jeu sans le ballon. « La réception et la balle facile, tout part de là. On est de calibre. »

Adjointe de premier plan

Lucie Boudreau comptera sur une nouvelle acolyte pour la seconder en Audrey Marcoux, qui a porté l’uniforme des Patriotes de l’UQTR sur le circuit universitaire québécois (division 2).

« Elle sera un atout pour moi. Ça sera un partage de connaissances, moi comme expérience d’entraîneure et elle comme joueuse. Je veux aussi qu’elle prenne sa place, je la laisse guider », conclut l’entraîneure-chef.

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