Le Dojo central de karaté est plus vivant que jamais!

Par Sylvain Turcotte 25 août 2016
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Les nouveaux gradés du Dojo central de karaté de Sept-Îles, grades obtenus au camp d’été, en compagnie de Sensei Claude Deschênes.

Encore et toujours, le gymnase de l’Institut d’enseignement de Sept-Îles s’animera, en soirée, pour une autre saison du Dojo central de karaté de Sept-Îles et son Sensei Claude Deschênes. Les cours reprennent de plus belle dès le 12 septembre.

«Le Dojo est plus vivant que jamais. On attend les gens avec le sourire pour leur enseigner une philosophie de vie avec un apport sportif d’un art martial, le karaté, qui couvre kata, combat, bunkai, oyo et enbu. Un art martial qui va au-delà de la performance en combat ou en kata. Ça s’adresse à tout le monde, pas seulement à l’élite. On travaille le développement chez les jeunes, les ados et les adultes pour créer de meilleurs individus», a mentionné l’homme qui compte 40 ans d’enseignement et détenteur du grade de 7e dan.

Au fil des années, M. Deschênes a formé une centaine de ceintures noires. Une vingtaine d’entre eux sont toujours actifs au sein du Dojo central de karaté de Sept-Îles. Peu importe le niveau de ceinture du karatéka, tout un chacun est important pour le Sensei. «Ils doivent profiter de mon expérience pour cheminer. Et avec l’expérience, les résultats sont là», a-t-il indiqué.

Parlant de ceintures noires, huit ont accédé à un nouveau dan ou l’ont obtenue lors du camp d’été en juillet, camp sous la direction de Sensei Frank Woon-Tai (9e dan). Il s’agit de Yannick Chassé (4e dan), Jean-Yves Parisé (4e dan), Nancy Lévesque (2e dan), Isabelle Cloutier (2e dan), Tommy Vallée (2e dan), Francis Dupont (2e dan), Michaël Rondeau (1er dan) et Lucie Chapados (1er dan). Un autre se retrouve à une seule étape, soit Rémi Forbes (1er kyu). Ces récompenses sont le fruit d’une préparation physique, mais aussi mentale.

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