La Feria de Port-Cartier: La magie opère à nouveau

Par Éditions Nordiques 1 août 2016
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On aperçoit ici la plupart des artistes qui ont assuré l’animation sur le site de La Feria lors de sa journée familiale et ses deux principaux organisateurs.

Près de 3 000 personnes ont pris part aux différentes activités proposées lors de la 8e édition de La Feria qui s’est tenue le 30 juillet. Encore une fois, la journée familiale et les spectacles musicaux en soirée ont réussi à rassembler un très grand nombre de familles sur l’île McCormick dans un esprit festif et convivial. 

Directeur artistique du Café-théâtre Graffiti, Yves Desrosiers est l’un des principaux organisateurs de la Feria. Il tire un bilan plus que positif de cette fête familiale. «La participation est équivalente à ce que nous avons eu auparavant. On a eu plusieurs nouveautés en journée et tout ça a été fort apprécié. On est très satisfait de la réponse des gens. C’est pour eux qu’on le fait et ça leur a plu. On est très satisfait du déroulement de cette journée», lance-t-il.

Le fait d’avoir animé la ruelle, qui donnait accès à l’île McCormick en après-midi, semble aussi être un élément qui a grandement plu aux gens. «C’était une idée que nous avions dès le départ. On l’a réalisé avec certains problèmes techniques. Il y a certains points à améliorer. Il n’en demeure pas moins que c’est un site extraordinaire. C’est bien aménagé pour les familles. L’atmosphère était parfaite. Pour une première expérience en journée, c’est très concluant.»

Une soirée enlevante

Plus de 2 000 personnes se sont réunies, en soirée, sur l’Île McCormick pour assister aux spectacles musicaux. La prestation de Jérôme Charlebois, Elizabeth Blouin-Brathwaite et Marco Calliari en étant l’un des moments forts. «Ces trois artistes avaient une réelle envie de travailler ensemble sur scène, souligne Yves Desrosiers. C’était un spectacle exclusif qu’on proposait ici aux gens. De plus, ils ont trois univers bien distincts. Ils ont tous offert une solide performance.»

Étant donné que les gens sont arrivés tôt sur le site en soirée, beaucoup d’entre eux ont quitté avant même la présentation du dernier spectacle, soit celui de Marco et Les Torvis. Un rendez-vous musical qui s’est avéré des plus festifs. «C’est un peu comme la marée haute et basse. Si ça se remplit tôt, ça se vide plus tôt. À 20h, il y avait énormément de gens sur le site. Ça n’a rien à voir avec les artistes, c’est une question de temps que les gens peuvent consacrer au festival», soutient le directeur du Graffiti.

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