Isabelle Blais et Pierre-Luc Brillant: La rencontre de deux univers 

Par Éditions Nordiques 8 juillet 2016
Temps de lecture :

À la suite de leur expérience dans «Midsummer, une pièce et neuf chansons», Isabelle Blais et Pierre-Luc Brillant ont nourri le désir de travailler ensemble à la réalisation d’un projet musical. Complices dans la vie et sur scène, ils ont décidé d’unir leur force pour l’écriture et la composition de chansons originales qui figureront sur un album, dont le lancement est prévu cet automne.  

«Tous les deux, on est rigoureux dans le travail. On est perfectionniste. Tant qu’on n’en arrive pas au résultat souhaité, on n’arrête pas. De plus, Isabelle a une magnifique oreille. Elle est très bonne pour les harmonies vocales. Nos forces se complètent bien», a soutenu Pierre-Luc Brillant que l’on peut voir au petit écran dans «Au secours de Béatrice».

De nature spontanée, les deux acolytes ne se sont mis aucune barrière pour l’écriture et la composition de ces chansons originales. «Ça varie d’une chanson à une autre. On part parfois d’une musique pour écrire une chanson. On n’a pas une méthode précise, explique-t-il. On voulait que ce soit plus folk. On a fait un travail important sur la guitare. On voulait rejoindre un plus large public sans pour autant tomber dans la pop.»

Un atout majeur

Tous les deux comédiens, ils n’hésitent pas à utiliser cette carte lorsqu’ils montent sur scène. «Ça transparaît dans notre manière d’interpréter les chansons. Ça nous permet d’amener les chansons différemment. On arrive à créer une atmosphère particulière. Cependant, on ne veut pas que ça prenne toute la place, insiste-t-il. On ne veut pas être perçu comme des comédiens qui chantent.»

Cette tournée du Réseau d’été du Regroupement des organisateurs de spectacles de l’Est-du-Québec (ROSEQ), qui comporte un arrêt le 9 juillet au Café-théâtre Graffiti, représente pour eux une opportunité en or de présenter ces nouvelles chansons aux spectateurs. «Jusqu’à maintenant, la réception est bonne. Au départ, on était un peu angoissé. On a très hâte de voir la réaction des gens dans l’Est-du-Québec. On espère avoir la chance de passer plusieurs fois dans votre région.»

 

Partager cet article