Daniel Otis dévoile du nouveau matériel

Par Éric Martin 6:00 AM - 10 mars 2020
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Ce mini-album de Dan et les monstres est disponible sur Bandcamp et sur plusieurs plateformes de téléchargement. Photo courtoisie

À la mi-janvier, Daniel Otis a mis en ligne un mini-album de cinq chansons sous le pseudonyme de Dan et les monstres. Celui-ci constitue la réalisation d’un projet musical initié il y a deux ans et d’une collaboration avec la violoniste septilienne, Myriam Saucier.

Au départ, l’auteur-compositeur-interprète septilien avait pour plan d’en faire un album complet. Cependant, son choix s’est finalement arrêté sur cinq chansons.

« Elles étaient prêtes. Je les avais travaillées avec Myriam (Saucier). Je les sentais plus matures. On a fait des modifications en les enregistrant. Le choix s’est fait assez naturellement », explique-t-il.

Au premier plan

À l’écoute de ce mini-album, on constate rapidement l’affection que Daniel Otis porte au violon. L’instrument était mis à l’avant-plan sur chacune des chansons. « Myriam (Saucier) joue la ligne mélodique de mes chansons. Le violon est un instrument qui m’inspire beaucoup. C’est elle qui m’a aidé avec l’ordre des chansons. Elle m’a permis de prendre un certain recul face à ce projet. »

C’est justement cette envie de collaborer avec d’autres qui fait en sorte qu’il a opté pour le pseudonyme de Dan et les monstres. « Ça appelle à des collaborations. Pour moi, la musique est une façon de tisser des liens avec d’autres. Je voulais aussi un nom plus mystérieux », indique-t-il. Le fil conducteur de ce mini-album est davantage au niveau des sonorités que sur le plan du sens des textes. »

Une grande polyvalence

Dans l’équipe d’Optik 360 depuis plusieurs années, Daniel Otis est également photographe et infographiste. Il demeure convaincu que ces champs d’expertise ont teinté l’artiste qu’il est aujourd’hui. « Ce qui m’intéresse avant tout, c’est la création. L’expérience acquise dans la photo et l’infographie a véritablement forgé qui je suis en musique aussi et vice-versa », conclut-il.

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