Conseil municipal de Sept-Îles en bref

Par Jean-Christophe Beaulieu 28 novembre 2018
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Guylaine Lejeune agissait comme pro-maire lors de la conseil municipal du 26 novembre dernier.

Retour sur la séance du conseil municipal de la Ville de Sept-Îles du 26 novembre 2018.

Lutte contre le racisme et la discrimination

Lors de la séance du 26 novembre, les conseillers ont indiqué qu’ils élaboreraient bientôt un plan d’action pour lutter contre le racisme et la discrimination. La Ville se joint ainsi aux 73 autres municipalités canadiennes qui se sont engagées à améliorer leurs pratiques afin de favoriser l’inclusion sociale.

«On trouve que c’est un geste à poser parce que plus ça va et plus on a de gens de l’extérieur qui viennent vivre chez nous», a laissé entendre la mairesse suppléante Guylaine Lejeune. Elle a ajouté que la décision est aussi en lien les rapprochements avec la communauté innue.

Étude sur la signalisation

Les feux de signalisation ont été au cœur des sujets de la séance de lundi. Le conseiller du district Sainte-Famille, Michel Bellavance, est revenu sur l’idée de réaliser une étude sur la signalisation.

Selon lui, il vaudrait mieux remplacer certains feux par des panneaux d’arrêts. Il a entre autres donné l’exemple de l’intersection Gamache-Maltais qui deviendrait plus fluide en remplaçant les lumières par des «Stop».

«Ce que je veux, c’est éliminer les feux de circulation qui ne sont pas probants», a-t-il mentionné.

Guylaine Lejeune a répondu qu’une évaluation des coûts doit être faite avant d’entamer une étude en ce sens.

Plan sur les infrastructures

«La Ville de Sept-Îles n’a aucun plan directeur des infrastructures municipales. J’aimerais qu’on en ait un pour nous guider dans nos décisions à court, moyen et long terme pour éviter des dépenses inutiles ou de mauvaises décisions», a fait valoir Michel Bellavance lors de la séance de lundi. Le conseiller a souligné qu’il travaillera à ce que la municipalité ait une planification optimale en ce sens.

Ce propos est en lien avec le désaccord qu’il avait exprimé lors de la première demande de subvention pour le complexe sportif. M. Bellavance avait indiqué que de nombreux besoins n’avaient pas été pris en compte par le conseil. Un «travail bâclé qui ne répondait pas aux besoins de la population en terme de plateaux sportifs». Il s’est dit heureux lundi de la tournure des évènements et a désiré prendre la balle au bond pour les futurs dossiers d’infrastructures.

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