Un couple est à sa 40e présence à Innu Nikamu. Un autre venu de Lévis profite du festival pour la première fois.
Willy et Rosalie, originaires de Mani-utenam, qui ont vécu toutes les éditions, notent que le son s’est amélioré avec les années. Willy dit aussi que les guitaristes sont meilleurs qu’aux débuts. Willy avait 27 ans à la première édition. Il a fait la sécurité quelques années, puis a laissé sa place aux jeunes.
Un autre couple, venu de Lévis, aime comment le festival les fait voyager. Le couple a visité 37 pays, mais est dépaysé en venant écouter la musique innue. Le mari a déjà visité la Côte-Nord, mais il est content d’être de retour. Il a hâte de voir le spectacle d’Elisapie.
Deux tatoueurs viennent de Terrebonne pour offrir leur art aux festivaliers. Ils travaillent sans arrêt du matin jusqu’à tard le soir. L’un d’eux est connu de la communauté, car il est originaire de Sept-Îles et y a pratiqué quelques années. Les trois dernières éditions, il travaillait seul, mais pour le 40e, il a amené un collègue avec lui pour répondre à la demande. L’an passé, il a fait environ 275 tatous.
Une dame de Tshishe-shastshit (Goose Bay) vient au festival depuis quelques années pour vendre des beignes de bannique. Elle continue de faire la recette de sa mère, qui a vécu dans le territoire.
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