Quelques heures avant le lancement du 40e d’Innu Nikamu, des dizaines de personnes préparent le site du festival. D’autres s’affairent à embellir la communauté.
Shetush Électrique fait les derniers raccordements pour que chaque kiosque qui en a besoin ait de l’électricité.
Des techniciens placent des projecteurs et de l’équipement musical.
Un homme entretient le feu sacré, qui doit brûler 24 heures sur 24, pendant toute la durée du festival. Il l’a préparé à 5h, mardi matin.
Des employés d’Innu Takuaikan Uashat mak Mani-utenam posent la toiture du bâtiment de la piscine municipale. La piscine ouvre habituellement en juin, mais le bâtiment était en trop mauvais état pour accueillir les baigneurs cette année.
Au même moment, les travaux publics vident le trop-plein des conteneurs à déchet des logements de la communauté. C’est une opération de routine qui tombe au bon moment, soit juste avant l’arrivée des premiers festivaliers.
![«La soirée de vendredi, avec [plusieurs artistes] suivis de Kashtin, ça a été un des plus beaux moments du Festival en 35 ans. Il y avait tellement de gens», s'extasie Kevin Bacon-Hervieux. (Photo : Le Nord-Côtier)](https://lenord-cotier.com/wp-content/uploads/sites/3/2019/08/Innu-Nikamu-Kashtin-6-444x300.jpg)
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