Football | Le Bol d’Or pour les Septiliens et le Port-Cartois des Gaillards de Jonquière
Émile Marceau, Samuel Boudreault, François Desrosiers et Jasmin Lévesque, avec leur médaille au cou de champions provinciaux. Photo courtoisie
Il y a du Sept-Îles et du Port-Cartier dans la conquête du Bol d’Or de la division 3 collégiale par les Gaillards du Cégep de Jonquière. Edouard Marcoux, Émile Marceau, Jasmin Lévesque et Samuel Boudreault, anciens du Husky football de Jean-du-Nord/Manikoutai, le Port-Cartois François Desrosiers ainsi que leurs coéquipiers ont remporté la finale provinciale samedi soir.
Sur le terrain des Diablos de Trois-Rivières, lieu des différentes finales du Bol d’Or du RSEQ, les Gaillards ont bouclé une saison parfaite en disposant des Vulkins du Cégep de Victoriaville par la marque de 28-20. Jonquière, qui remportait ainsi un onzième de match cette saison, mettait ainsi fin à trois défaites de suite en grande finale provinciale.
Un seul des Nord-Côtiers des Gaillards n’avait pas le statut de recrue, soit Jasmin Lévesque. « C’était la deuxième fois que j’allais à un Bol d’Or. L’an dernier, nous avions perdu que d’un seul touchdown et les vétérans qui étaient à leur dernière année voulaient absolument gagner le trophée. Cette année était la bonne et je sais que c’est mérité, car nous avons mis les efforts du début jusqu’à la fin pour en arriver au résultat d’être champion! C’est un sentiment qui est incroyable et nous voulons le reproduire dans nos prochaines années », a-t-il laissé savoir.
Le sentiment de la victoire était fort agréable aux dires de Samuel Boudreault, lui qui en est à une première saison collégiale et qui vivait ainsi le rêve de tout joueur à ce niveau. Nous avons travaillé toute l’année pour ce championnat. L’événement en question était débile. L’ambiance est malade et le gagner en plus nous a fait vivre plein d’émotions. »
Ces sensations étaient aussi partagées dans les propos d’Émile Marceau. « Être présent au Bol d’Or pour ma première année collégiale, c’est incroyable! Nous travaillons comme des acharnés depuis le mois d’août pour accomplir cet objectif. Avec l’équipe de coach qu’on a et tous les joueurs extrêmement talentueux, le Bol d’Or était atteignable. Les sentiments ressentis sont indescriptibles et c’est à refaire. »
Même s’il a regardé le match des lignes de côté, Edouard Marcoux parle de feeling incroyable. « Je crois qu’on a mérité notre place en finale, car on a travaillé dur toute la saison pour se rendre là. Être champion du Bol d’Or, c’est un souvenir qu’on va garder à vie et c’est vraiment hot de vivre ça à notre première année collégiale. »
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