Jean-Christophe Vibert a enfin eu son tour

Par Sylvain Turcotte 2:32 PM - 11 septembre 2023
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Jean-Christophe Vibert et Mathis Paradis, les deux Septiliens du Rouge et Or football de l’Université Laval. Photos Mathieu Bélanger

Le Septilien Jean-Christophe Vibert a enfilé l’équipement complet pour un premier match avec le Rouge et Or football de l’Université Laval, vendredi. Quant à Mathis Paradis, il demeure sur la touche.

Joueur de ligne offensive, Jean-Christophe Vibert attendait son tour depuis déjà deux saisons. L’athlète de 6’5, 310 lb, a vu de l’action lors de sa première partie en uniforme, vendredi, au Stade Telus de l’Université Laval.

Il a été envoyé dans la mêlée tard au quatrième quart dans le duel remporté 48-7 sur les Redbirds de McGill.

« C’était ma première game habillé à la maison. C’est sûr que c’est trippant parce quand tu choisis de venir à Laval, c’est pour ces matchs là (foule de près de 14 000 spectateurs). J’ai pris l’opportunité que j’ai eu au 4e quart d’embarquer sur le terrain », a-t-il fait savoir.

Il croit que ça été relativement correct pour ses premiers jeux, « mais c’est certain qu’il y a toujours place à l’amélioration. »

Quant à l’autre septilien de la formation championne nationale universitaire, Mathis Paradis, il devra patienter avant d’avoir son tour avec le Rouge et Or.

Sa première expérience sur le terrain avec les champions universitaires canadiens s’est limitée à une seule pratique.

Lors de la première journée du camp le 11 août, le colosse joueur de ligne offensive de 6’3 a aggravé une blessure à l’épaule qui le suit depuis sa première saison collégiale avec les Élans de Garneau. 

« Ça me faisait mal (lors des saisons collégiales), mais j’étais capable de jouer. Je n’ai jamais manqué un match à ma troisième saison (2022) », a-t-il fait savoir. « J’imagine que ça ne tenait pas à grand-chose. »

Mathis Paradis est en attente pour rencontrer l’orthopédiste. Il s’agirait d’une déchirure partielle à l’épaule droite.

Même si ça le fait c…, en bon québécois, il sait qu’il pourra récupérer après l’intervention. « C’est rassurant. »

À défaut de voir du terrain pour sa saison recrue, il est en tout temps dans l’entourage de l’équipe, que ce soit entre autres pour les réunions et les pratiques.

« Je suis toujours là. Je ne manque rien. Ça me permet d’apprendre le cahier de jeux et être prêt pour l’an prochain », a mentionné celui qui a amorcé ses études universitaires en relations industrielles. 

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