D’Alliston à Sept-Îles pour la Classique du Printemps
Alexis Hébert (quatrième à partir de la gauche), en compagnie de ses amis et coéquipiers descendus avec lui de l’Ontario pour participer à la Classique du Printemps à Sept-Îles.
Quelque 1 500 km séparent Alliston, en Ontario, de Sept-Îles. C’est la distance parcourue par Alexis Hébert pour venir avec des amis hockeyeurs pour la Classique du Printemps qui avait lieu dans les deux arénas de l’avenue Jolliet du 30 mars au 2 avril.
C’est la deuxième année de suite qu’Alexis Hébert descend à Sept-Îles, son coin de pays, pour ce tournoi en compagnie de coéquipiers du Thunder de Tottenham, équipe Junior A avec laquelle il évolue en Ontario. Des joueurs locaux se greffent à eux.
« C’est un trip de gars, avec le hockey et la bière », se permet de dire le Septilien d’origine.
Deux de ses amis en étaient d’ailleurs à leur deuxième participation à la Classique du printemps.
« Je viens pour les gens, l’ambiance. Je me suis fait des amis et j’aime les bars ici et la poutine », mentionne Matthew Prock, coéquipier où réside Alexis en Ontario.
Gagne ou perd, Alexis et ses coéquipiers aux couleurs de Discount Ontario s’en font outre mesure. « On se fait du fun », conclut le Septilien qui en était à sa troisième saison de hockey dans la province voisine. Il lui en reste deux. Pour la suite, il verra s’il a une offre pour aller en Europe. Sinon, il compte revenir à la maison.
Surréel
Pour Yannick Landry, co-organisateur de la Classique du Printemps, il trouve ça surréel la venue d’équipes d’aussi loin pour son tournoi. En plus de celle de l’Ontario, la 13e édition comptait aussi une équipe de la Gaspésie et une de Québec.
« On pogne du monde qui pogne du monde. La Classique, c’est le succès de tout le monde. Notre but premier, c’est d’avoir de la visite », a-t-il fait savoir. Le tournoi devrait occuper la case de la deuxième fin de semaine d’avril pour 2024.
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