Form’Optimale : mi-figue, mi-raisin face à la réouverture
La fille de Louis-Philippe Jean, Alice, 4 ans, veut-elle suivre les traces de son père? C’était la réouverture de Form’Optimale lundi.
La population a pu renouer avec les centres d’entraînement au début de la semaine. Finis les casse-tête et les différentes façons de se garder en forme à gauche et à droite. Les habitués ont retrouvé leur gym, leurs propriétaires, leur clientèle. Louis-Philippe Jean de Form’Optimale et Tommy Tremblay du gym Aestrania nous parlent de la situation.
Le propriétaire de Form’Optimale à Port-Cartier, Louis-Philippe Jean, est content et optimiste face à la réouverture des centres d’entraînement, mais il se garde certaines réserves, particulièrement à savoir comment agira la clientèle.
«Je suis encore ambigu face à la réouverture», a fait savoir le Port-Cartois lundi matin. «Je ne sais pas comment ça va se passer. J’ai hâte de voir. Je suis optimiste, mais j’ai des réserves».
Cette réouverture des gyms, c’est «une permission de travailler», mais rien de sûr à 100%, avance-t-il. «C’est un service qu’on veut offrir pour que les gens soient en forme, mais le service de première ligne, ce sont les hôpitaux, et je comprends ça».
Il évoque aussi que l’apprentissage des consignes sanitaires sera nécessaire. «Les règles sanitaires sont là pour rester».
Le nombre de clients sera limité à huit personnes à la fois, en formule réservation, pour des périodes maximales de quatre-vingt-dix minutes. Il y aura un registre de contrôle des entrées et des sorties.
En mode survie?
Le propriétaire de Form’Optimale a bien hâte que l’économie reprenne et que tout tourne à la régulière. «Jusqu’à l’été, ce sera en mode survie», indique Louis-Philippe Jean, qui soutient que les revenus de son gymnase ont pris une descente en 2020. Il garde cependant la tête hors de l’eau avec ses autres entreprises, Déménagement Optimale ainsi que Pneus Michel et fils.
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