Le Café-Théâtre Graffiti autorisé à utiliser l’appellation «Oreilles dégourdies»

Par Éditions Nordiques 24 octobre 2012
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Des discussions ont eu lieu récemment entre le directeur de la Salle de spectacle Jean-Marc-Dion, Stephan Dubé et le directeur artistique du Café-théâtre Graffiti, Yves Desrosiers, afin de permettre au diffuseur de Port-Cartier d’utiliser désormais l’appellation «Oreilles dégourdies» lors de la présentation de certains spectacles d’artistes musicaux émergents.

Un constat s’impose, la mise en marché de ce projet initié par la Salle de spectacle Jean-Marc-Dion, le Cégep de Sept-Îles et Radio-Canada suscite déjà de l’intérêt chez certains diffuseurs, dont le Graffiti. «C’est un projet dont j’étais jaloux, soutient Yves Desrosiers. Je crois que c’est là une très belle mise en marché et je suis convaincu que cette appellation pourrait facilement s’appliquer à tous les diffuseurs du ROSEQ puisqu’elle est facile à cerner», avance-t-il.

Pour la Salle Jean-Marc-Dion, un tel partenariat offre une visibilité accrue au projet «Les oreilles dégourdies». «C’est un sceau que le Graffiti pourra désormais utiliser afin d’identifier les spectacles d’artistes musicaux émergents. Ça donne une certaine notoriété au projet et sa clientèle-cible pourra facilement s’y reconnaître », soutient l’agent de développement de la salle, Éric Pelletier.

Un partenariat qui a du sens puisque deux des trois spectacles inclus dans la programmation automne 2012 des «Oreilles dégourdies» sont aussi présentés au Café-théâtre Graffiti soit Dumas (13 novembre) et Bodh’aktan (29 novembre). Yves Desrosiers examine attentivement la possibilité d’offrir ultérieurement des forfaits plus avantageux pour la clientèle étudiante ciblée par ce projet s’adressant, avant tout, aux amateurs de musique émergente de tous âges.

Bodh’aktan sera présenté, le 29 novembre à 20h, au Café-Théâtre Graffiti sous l’appellation «Les oreilles dégourdies». (Photo : Courtoisie)

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