Négociations difficiles pour les policiers de la SPUM

Par Fanny Lévesque 4 juin 2015
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Les policiers Pascal Bérubé, Guy Olivier, Normand Ambroise et Gilbert Vollant devront se défendre devant le comité de déontologie policière

Les policiers du service de sécurité publique de Uashat mak Mani-Utenam (SPUM) et le conseil Innu Takuaikan Uashat mak Mani-Utenam n’arrivent pas à s’entendre sur la première convention collective.

L’employeur vient d’ailleurs de demander l’intervention d’un conciliateur du Conseil canadien des relations industrielles, a fait savoir le Syndicat canadien de la fonction publique, qui représente les 13 policiers de la SPUM.

«Force est de constater qu’après 13 rencontres, qui se sont déroulées sur une période de deux ans, ce n’était pas suffisant pour la partie patronale pour nous présenter l’ensemble de sa position», a déclaré la conseillère syndicale, Charlaine Sirois.

Le SCFP ne s’oppose pas néanmoins au processus de conciliation, «malgré que ça risque de provoquer un retard supplémentaire pour arriver à une entente entre les parties». Le processus de négociations a débuté le 7 juillet 2013.


(Photo : archives – Le Nord-Côtier)

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